Les mères ne trahissent pas

sub tuum
sub tuum

« Aujourd’hui,
nous regardons Marie,
Mère de l’espérance.
Dans les Évangiles, Marie est cette
femme qui médite chaque parole et
chaque événement dans son cœur, qui
écoute et qui accueille l’existence telle
qu’elle se présente, avec ses jours heureux
et avec ses drames.
Et, à l’heure de
la nuit la plus extrême, quand son Fils
est cloué sur le bois de la croix, les
Évangiles nous disent qu’elle “se tenait”
là, au pied de la croix, par fidélité au
projet de Dieu dont elle s’est proclamée
la servante et avec son amour de mère
qui souffre.
Elle est là encore pour accompagner
les premiers pas de l’Église,
dans la lumière de la Résurrection, au
milieu des disciples tellement fragiles.
C’est pour tout cela que nous l’aimons
comme Mère, parce qu’elle nous enseigne
la vertu de l’attente confiante, même
quand tout semble privé de sens».

Le Pape François au cours de l’Audience générale du 10 mai 2017