Archives de catégorie : Billet

sur la Médaille Miraculeuse, l’Église dans le monde

LA MÈRE DE JÉSUS

LA MÈRE DE JÉSUS

Marie a donné naissance à un Enfant différent de tout autre enfant jamais venu au monde. Son Enfant est à la fois le Fils de l’Homme et le Fils de Dieu. Parce que Jésus est unique, sa mère aussi jouit d’une place spéciale dans la vie et la dévotion des fidèles. En tant que mère de Jésus, Marie est étroitement en rapport avec Son œuvre de salut.

En ce sens elle est associée au mystère de la rédemption. Puisque Jésus est à la fois Dieu et homme, Marie est la mère de Dieu. C’est là son titre suprême et unique. Et elle a de ce fait avec l’Église et les croyants une relation parti­culière de maternité. Contemplons cette femme privilégiée de tant de grâces, qui est pour nous source d’inspiration.

d’après « L’enseignement du Christ »

LE FILS DE DIEU DEVIENT NOTRE FRÈRE

LE FILS DE DIEU DEVIENT NOTRE FRÈRE

Le cœur de la « bonne nouvelle » de l’Évangile est ce fait : « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils, son unique, pour que tout homme qui croit en Lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle » (Jn 3,16). Connaître Jésus-Christ et faire l’expérience de sa puissance salvatrice, c’est le cœur de la vie chrétienne.

Il est notre frère, en plénitude d’huma­nité. Il est notre Seigneur, le Fils éternel qui a pris une véritable nature humaine afin de pouvoir être avec nous, nous sauver, et nous faire parti­ciper à sa vie divine. Humilia­tion du Fils de Dieu dans l’Incarnation et gloire de son humanité, voilà la « personne » de Jésus.

d’après « L’enseignement du Christ »

L’HOMME DÉCHU ET LA FIDÉLITÉ DE DIEU

L’HOMME DÉCHU ET LA FIDÉLITÉ DE DIEU

Dieu  crée le monde bon et l’homme y introduit le mal. A l’aube même de l’histoire humaine, l’égoïsme et l’orgueil humains portent l’homme au mal, et nous naissons dans un monde qui a été en partie aliéné de Dieu.

Nous subissons les effets du « péché originel ». Mais notre expérience du mal ne consiste pas seulement en la connaissance d’une tragique condition du monde : nous y sommes nous-mêmes trop personnellement immergés. Nous-mêmes, nous nous détournons de Dieu. Nous succombons à la tentation du mal.

Mais on ne peut parler de l’amère réalité de la première chute qui fait déchoir l’homme de la grâce de Dieu, et de notre propre refus de Dieu par le péché personnel, sans  exprimer aussi la grande miséricorde de Dieu, la grande espérance que Dieu offre encore à ses créatures, et qui se réalise finalement en la venue de Jésus-Christ.

d’après « L’enseignement du Christ »