Archives de catégorie : Méditation

sur un aspect de spiritualité : Christ, Vierge Marie, Église dans le monde…

PREMIÈRE JOURNÉE MONDIALE DES ENFANTS

MESSAGE DU SAINT-PÈRE
POUR LA PREMIÈRE JOURNÉE MONDIALE DES ENFANTS

25-26 mai 2024

Ce week-end est l’occasion de célébrer les rêves de paix et de futur que font les enfants, et de s’inspirer de leur spontanéité dans les relations humaines. Le Pape François leur délivre ce message écrit le 2 mars aujourd’hui et, à l’occasion de la 1ère Journée mondiale des enfants, il en rencontre au stade olympique de Rome.

Chers enfants,

votre première Journée Mondiale approche : elle a lieu à Rome les 25 et 26 mai. C’est pourquoi j’ai pensé à vous envoyer un message. Je serai heureux que vous puissiez le recevoir et je remercie tous ceux qui contribueront à le mettre à votre disposition.

Je l’adresse avant tout à chacun de vous personnellement, à toi, cher enfant, parce que “tu es précieux” aux yeux de Dieu (Is 43, 4), comme la Bible nous l’enseigne et comme Jésus l’a démontré tant de fois.

En même temps, j’adresse ce message à tous, parce que vous êtes tous importants et parce qu’ensemble, proches et lointains, vous manifestez le désir de chacun d’entre nous de grandir et de se renouveler. Vous nous rappelez que nous sommes tous des enfants et des frères, et que personne ne peut exister sans quelqu’un qui l’ait mis au monde, ni grandir sans avoir d’autres personnes à qui donner de l’amour et de qui recevoir de l’amour (cf. Lettre encyclique Fratelli tutti, n. 95).

Ainsi, vous tous, les enfants, qui êtes la joie de vos parents et de vos familles, vous êtes aussi la joie de l’humanité et de l’Église dans lesquelles chacun est comme un maillon d’une très longue chaîne qui s’étend du passé à l’avenir et qui couvre toute la terre.

C’est pourquoi je vous recommande de toujours écouter attentivement les histoires des grands : de vos mamans, de vos papas, de vos grands-parents et de vos arrière-grands-parents !

Et en même temps de ne pas oublier ceux d’entre vous, encore si jeunes, qui luttent déjà contre la maladie et les difficultés, à l’hôpital ou à la maison, ceux qui sont victimes de la guerre et de la violence, ceux qui souffrent de la faim et de la soif, ceux qui vivent dans la rue, ceux qui sont contraints d’être soldats ou de fuir comme réfugiés, séparés de leurs parents, ceux qui ne peuvent pas aller à l’école, ceux qui sont victimes de bandes criminelles, de la drogue ou d’autres formes d’esclavage, des abus.

Bref, tous ces enfants dont l’enfance est aujourd’hui encore cruellement volée. Écoutez-les, écoutons-les vraiment, car dans leur souffrance, ils nous parlent de la réalité, les yeux purifiés par les larmes et avec ce tenace désir de bien qui naît dans le cœur de ceux qui ont vraiment vu combien le mal est horrible.

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Mes petits amis, pour nous renouveler et renouveler le monde, il ne suffit pas que nous soyons ensemble entre nous : Il est nécessaire de rester unis à Jésus. De lui, nous recevons beaucoup de courage : il est toujours proche, son Esprit nous précède et nous accompagne sur les chemins du monde. Jésus nous dit : « Voici que je fais toutes choses nouvelles » (Ap 21, 5) ; ce sont les paroles que j’ai choisies comme thème de votre première Journée mondiale.

Ces mots nous invitent à devenir aussi agiles que des enfants pour saisir la nouveauté suscitée par l’Esprit en nous et autour de nous. Avec Jésus, nous pouvons rêver d’une humanité nouvelle et nous engager dans une société plus fraternelle et attentive à notre maison commune, en commençant par des choses simples, comme saluer les autres, demander la permission, s’excuser, dire merci.

Le monde se transforme d’abord par de petites choses, sans avoir honte de ne faire que de petits pas. Au contraire, notre petitesse nous rappelle que nous sommes fragiles et que nous avons besoin les uns des autres, comme les membres d’un seul corps (cf. Rm 12, 5 ; 1 Co 12, 26).

Et ce n’est pas tout. En effet, chers enfants, nous ne pouvons pas être heureux tout seuls, parce que la joie grandit dans la mesure où nous la partageons : elle naît de la gratitude pour les dons que nous avons reçus et que nous partageons à notre tour avec les autres.

Lorsque nous gardons pour nous seuls ce que nous avons reçu, ou que nous faisons des caprices pour obtenir tel ou tel cadeau, nous oublions en fait que le plus grand cadeau c’est nous-mêmes, les uns pour les autres : nous sommes le “don de Dieu”. Les autres dons sont utiles, oui, mais seulement pour être ensemble. Si nous ne les utilisons pas pour cela, nous serons toujours insatisfaits et il n’y en aura jamais assez.

*

Au contraire, si l’on est ensemble, tout est différent ! Pensez à vos amis : comme il est beau d’être avec eux, à la maison, à l’école, en paroisse, à l’aumônerie, partout ; de jouer, de chanter, de découvrir de nouvelles choses, de s’amuser, tous ensemble, sans laisser personne de côté. L’amitié est très belle et ne grandit que de cette façon, dans le partage et le pardon, avec patience, courage, créativité et imagination, sans peur et sans préjugés.

Et maintenant, je veux vous confier un secret important : pour être vraiment heureux, il faut prier, beaucoup prier, tous les jours, parce que la prière nous relie directement à Dieu, elle remplit notre cœur de lumière et de chaleur et nous aide à tout faire avec confiance et sérénité. Jésus aussi priait toujours le Père.

Et savez-vous comment il l’appelait ? Dans sa langue, il l’appelait simplement Abba, ce qui signifie Papa (cf. Mc 14, 36). Faisons-le nous aussi ! Nous le sentirons toujours proche. Jésus lui-même nous l’a promis lorsqu’il a dit : « Là où deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis au milieu d’eux » (Mt 18, 20).

Chers enfants, vous savez qu’au mois de mai, nous nous retrouverons nombreux à Rome, avec vous, qui viendrez du monde entier ! Alors, pour bien nous préparer, je vous recommande d’utiliser en priant les mêmes paroles que celles que Jésus nous a enseignées : le Notre Père.

Récitez-le chaque matin et chaque soir, et aussi en famille, avec vos parents, vos frères, vos sœurs et vos grands-parents. Mais pas comme une formule, non ! En pensant aux paroles que Jésus nous a enseignées. Jésus nous appelle et veut que nous soyons avec lui les protagonistes de cette Journée Mondiale, les bâtisseurs d’un monde nouveau, plus humain, plus juste et plus pacifique.

Lui qui s’est offert sur la Croix pour nous rassembler tous dans l’amour, Lui qui a vaincu la mort et nous a réconciliés avec le Père, il veut continuer son œuvre dans l’Église, à travers nous. Pensez-y, en particulier ceux d’entre vous qui se préparent à recevoir la Première Communion.

Chers amis, Dieu, qui nous aime depuis toujours (cf. Jr 1, 5), a pour nous le regard du papa le plus aimant et de la maman la plus tendre. Il ne nous oublie jamais (cf. Is 49,15) et nous accompagne chaque jour et nous renouvelle par son Esprit.

Avec la Très Sainte Vierge Marie et saint Joseph, prions avec ces mots :

Viens, Esprit Saint,
montre-nous ta beauté
reflétée dans les visages
des enfants de la terre.
Viens Jésus,
qui fais toutes choses nouvelles,
qui es le chemin qui nous conduit au Père,
viens et reste avec nous.
Amen.

Rome, Saint-Jean-de-Latran, 2 mars 2024

Pape FRANÇOIS

 


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Neuvaine de la Visitation 3

Troisième jour de la neuvaine

– Marie, Mère de la promesse

Visitation Pontoise Cathédrale Saint-Maclou
Visitation Pontoise Cathédrale Saint-Maclou

Sainte Marie, vous viviez en contact intime avec les Saintes Écritures d’Israël, qui parlaient de l’espérance – de la promesse faite à Abraham et à sa descendance. (Lc 1,55).

Vous, Ma Reine, qui avez mis tant de diligence à visiter et à sanctifier par votre présence la maison d’Élisabeth, daignez me visiter promptement.

Que vous dirai-je de plus ? Ayez pitié de moi. Je suis tellement misérable et ignorant, que je ne saurais connaître ni demander les grâces qui me sont le plus nécessaires.

Ma Reine et ma douce Mère, demandez-les pour moi, et obtenez de votre Fils les grâces que vous me savez être plus utiles, plus nécessaires.

« L’écoute. Marie se rend chez sa cousine Élisabeth. D’où lui vient ce geste ? D’une parole de l’ange de Dieu : « Et voici qu’Élisabeth, ta parente, vient, elle aussi, de concevoir un fils dans sa vieillesse » (Lc 1,36). Marie sait écouter Dieu. Attention ! Il ne s’agit pas simplement d’ « entendre » superficiellement, mais c’est une « écoute » faite d’attention, d’accueil, de disponibilité envers Dieu. Ce n’est pas la manière distraite que nous avons souvent de nous mettre devant le Seigneur ou les autres : nous entendons ce qu’ils disent, mais nous n’écoutons pas vraiment. » Pape François le 31 mai 2013

Je m’abandonne entièrement dans vos mains, je prie seulement Dieu de m’accorder, par les mérites de mon Sauveur Jésus, les grâces que vous solliciterez pour moi, Sainte Vierge Marie.

Ô Marie, conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous !

Prières quotidiennes

Texte présenté par l’Association de la Médaille Miraculeuse

Saint André Kim Tae-gon, témoin du zèle apostolique

Saint André Kim Tae-gon, témoin du zèle apostolique

Poursuivant sa catéchèse sur «la passion d’évangéliser, le zèle apostolique du croyant», le Pape s’est arrêté sur la figure du martyr coréen saint André Kim Tae-gon, lors de l’audience générale du 24 mai place Saint-Pierre. Pour François, le prêtre coréen a montré dans sa mission que «le témoignage de l’Évangile en temps de persécution peut porter beaucoup de fruits», et qu’il aide à «se relever quand on tombe».
Le Pape François a commémoré ce mercredi 24 mai la Journée mondiale de prière pour l’Église catholique en Chine à l’issue de l’audience générale place Saint-Pierre. Audience à laquelle étaient présents les aumôniers de la communauté catholique chinoise en Italie en cette journée symbolique.

 

PAPE FRANÇOIS

AUDIENCE GÉNÉRALE

Place Saint-Pierre
Mercredi 24 mai 2023

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Catéchèse – La passion pour l’évangélisation : le zèle apostolique du croyant – 14. Les témoins : Saint André Kim

Résumé

Frères et sœurs, nous sommes toujours à l’école des saints et des saintes qui ont été des témoins exemplaires et qui nous enseignent le zèle apostolique. Saint André Kim, martyr et premier prêtre coréen, est un bel exemple de passion pour l’évangélisation. Il y a 200 ans, la terre coréenne était le théâtre d’une dure persécution contre la foi chrétienne.

Dans ce contexte, Saint André Kim, pour s’identifier auprès des fidèles sans être dénoncé, prononçait seulement les mots “disciple de Jésus”, une expression qui résume à elle seule l’identité chrétienne. Être disciple du Seigneur signifie le suivre, suivre son chemin, jusqu’à donner sa vie pour l’Évangile. Le chrétien est, de par sa nature, missionnaire et témoin, comme Jésus a été témoin et missionnaire du Père.

C’est de là que naît la passion pour l’évangélisation. Une fois, tombant inanimé sous la neige, après une longue marche sans manger, Saint André entendit une voix : « Lève-toi et marche ». Il se releva et il entrevit une ombre qui le guidait.

Cette expérience révèle un aspect très important du zèle apostolique : il faut avoir le courage de se relever quand on tombe et de ne jamais renoncer à continuer à évangéliser, même dans les contradictions et les situations difficiles. La Résurrection du Christ est le mystère où s’enracine la possibilité de nous relever après les chutes ; elle est la source de la force qui nous permet d’aller de l’avant.

Je salue cordialement les personnes de langue française, en particulier les jeunes venus de France et les pèlerins venus de Belgique.

Frères et sœurs, pour être missionnaires et témoins du Seigneur, demandons à l’Esprit de force de toujours nous aider à persévérer dans l’épreuve et à nous relever après les chutes.

Que Dieu vous bénisse !

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AUDIENCE

Chers frères et sœurs, bonjour!

Dans cette série de catéchèses, nous nous plaçons à l’école de quelques saints et saintes qui, en témoins exemplaires, nous enseignent le zèle apostolique. Rappelons-nous que nous parlons du zèle apostolique, ce que nous devons avoir pour proclamer l’Évangile.

Aujourd’hui, nous allons trouver un grand exemple de saint passionné pour l’évangélisation dans un pays très lointain, à savoir dans l’Église coréenne. Nous nous tournons vers le martyr et premier prêtre coréen Saint André Kim Tae-gon. Mais l’évangélisation de la Corée a été faite par les laïcs.

Ce sont les laïcs baptisés qui ont transmis la foi, il n’y avait pas de prêtres, parce qu’ils n’en avaient pas : ils sont venus plus tard, donc la première évangélisation a été faite par les laïcs. Serions-nous capables d’une telle chose ? Réfléchissons-y : c’est quelque chose d’intéressant. Et c’est l’un des premiers prêtres, saint André. Sa vie a été et demeure un témoignage éloquent de zèle pour l’annonce de l’Évangile.

Il y a environ 200 ans, la terre coréenne était le théâtre d’une persécution très sévère : les chrétiens étaient persécutés et anéantis. Croire en Jésus-Christ, en Corée à cette époque, signifiait être prêt à témoigner jusqu’à la mort. En particulier, nous pouvons tirer l’exemple de saint André Kim de deux aspects concrets de sa vie.

Le premier est le chemin qu’il devait emprunter pour rencontrer les fidèles. Étant donné le contexte très intimidant, le Saint a été contraint d’aborder les chrétiens de manière non manifeste, et toujours en présence d’autres personnes, comme s’ils se parlaient depuis un certain temps. main; après quoi, il posa secrètement la question – mais à voix basse : « Es-tu disciple de Jésus ? »

Comme d’autres personnes assistaient à la conversation, le Saint devait parler à voix basse, ne prononçant que quelques mots, les plus essentiels. Ainsi, pour André Kim, l’expression qui résumait toute l’identité du chrétien était « disciple du Christ » : « Es-tu disciple du Christ ? », mais à voix basse car dangereuse. Il était interdit d’être chrétien.

En effet, être disciple du Seigneur signifie le suivre, suivre son chemin. Et le chrétien est par nature celui qui prêche et témoigne de Jésus : toute communauté chrétienne reçoit cette identité de l’Esprit Saint, ainsi que toute l’Église, depuis le jour de la Pentecôte (cf. Concile Vatican II, Décret Ad Gentes, 2 ). Et de cet Esprit que nous recevons, naît la passion, la passion de l’évangélisation, ce grand zèle apostolique : c’est un don de l’Esprit.

Et même si le contexte environnant n’est pas favorable, comme celui coréen d’André Kim, la passion ne change pas, au contraire, elle acquiert encore plus de valeur. Saint André Kim et les autres fidèles coréens ont montré que le témoignage de l’Évangile rendu en temps de persécution peut porter beaucoup de fruit pour la foi.

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Voyons maintenant un deuxième exemple concret. Alors qu’il était encore séminariste, Saint André a dû trouver un moyen d’accueillir secrètement des missionnaires de l’étranger. Ce n’était pas une tâche facile, car le régime de l’époque interdisait strictement à tout étranger d’entrer sur le territoire. C’est pourquoi il avait été – avant cela – si difficile de trouver un prêtre qui viendrait en mission : les laïcs faisaient la mission.

Une fois – pensez à ce que Saint André a fait – une fois il a marché dans la neige, sans manger, pendant si longtemps qu’il est tombé par terre épuisé, risquant de perdre connaissance et d’y rester gelé. À ce moment-là, il entendit soudain une voix : « Lève-toi, marche ! » En entendant cette voix, André se réveilla, voyant comme si c’était l’ombre de quelqu’un qui le guidait.

Cette expérience du grand témoin coréen nous fait comprendre un aspect très important du zèle apostolique. A savoir le courage de se relever quand on tombe. Mais les saints tombent-ils ? Oui! Mais dès les premiers temps : pensez à saint Pierre : il a commis un grand péché, mais a été fortifié dans la miséricorde de Dieu et s’est relevé.

Et à Saint André, nous voyons cette force : il était tombé physiquement mais il avait la force d’aller, d’aller, d’aller porter le message. Aussi difficile que soit la situation, voire parfois elle semble ne pas laisser de place au message évangélique, nous ne devons pas baisser les bras et nous ne devons pas renoncer à poursuivre ce qui est essentiel dans notre vie chrétienne, c’est-à-dire l’évangélisation.

Ceci est le chemin. Et chacun de nous peut penser : « Comment puis-je évangéliser ? » Mais regardez ces grands et vous pensez à votre petit, nous pensons à notre petit : évangélisez la famille, évangélisez les amis, parlez de Jésus, mais parlez de Jésus et évangélisez avec un cœur plein de joie, plein de force. Et cela est donné par le Saint-Esprit.

Préparons-nous à recevoir l’Esprit Saint à la Pentecôte qui vient et demandons-lui cette grâce, la grâce du courage apostolique, la grâce d’évangéliser, de toujours porter le message de Jésus.


APPEL

Aujourd’hui est la journée mondiale de prière pour l’Église catholique en Chine. Elle coïncide avec la fête de la Bienheureuse Vierge Marie Auxiliatrice, vénérée et invoquée au Sanctuaire Notre-Dame de Sheshan, à Shanghai. En cette circonstance, je souhaite me recueillir et exprimer ma proximité avec nos frères et sœurs de Chine, en partageant leurs joies et leurs espérances.

Une pensée particulière s’adresse à tous ceux qui souffrent, pasteurs et fidèles, afin que, dans la communion et la solidarité de l’Église universelle, ils trouvent consolation et encouragement. J’invite chacun à élever sa prière vers Dieu, afin que la Bonne Nouvelle du Christ crucifié et ressuscité soit proclamée dans sa plénitude, sa beauté et sa liberté, portant des fruits pour le bien de l’Église catholique et de toute la société chinoise.

* * *

Enfin, comme d’habitude, je m’adresse aux jeunes, aux malades, aux personnes âgées et aux jeunes mariés. Aujourd’hui est la fête de la Madone vénérée avec le titre de Marie Auxiliatrice. Que Marie vous aide, chers jeunes, à renforcer chaque jour votre fidélité au Christ. Qu’elle vous procure réconfort et sérénité, chères personnes âgées et chers malades.

Qu’elle vous encourage, chers jeunes mariés, à traduire le commandement de l’amour dans la vie quotidienne. La Journée de Marie Auxiliatrice est une vocation mariale si chère à Don Bosco : une salutation et un souvenir à la Famille salésienne, en rendant grâce pour tout ce qu’elle fait pour l’Église.

Et pourtant tout le monde est attristé par l’Ukraine tourmentée : il y a tant de souffrances là-bas, ne les oublions pas. Prions aujourd’hui Marie Auxiliatrice pour être proche du peuple ukrainien.

Et à toute ma bénédiction.


Copyright © Dicastero per la Comunicazione – Libreria Editrice Vaticana

Texte traduit et présenté par l’Association de la Médaille Miraculeuse