Archives de catégorie : prière

NEUVAINE À LA DIVINE MISÉRICORDE 1

neuvaine Miséricorde Divine
neuvaine Miséricorde Divine

« Je désire que la fête de la Miséricorde soit un recours et un refuge pour toutes les âmes, et surtout pour les pauvres pécheurs. (…) Je déverse tout un océan de grâces sur les âmes qui s’approcheront de la source de Ma miséricorde. Toute âme qui se confessera et communiera recevra le pardon complet de ses fautes et la remise de sa punition ; en ce jour-là sont ouvertes toutes les sources divines par lesquelles s’écoulent les grâces ; qu’aucune âme n’ait peur de s’approcher de Moi, même si ses péchés sont comme l’écarlate » (PJ 699).

Le 30 avril 2000 le pape Jean Paul II a proclamé Sœur Faustine sainte et il a constitué la Fête de la Miséricorde Divine pour toute l’Église.

« Le Seigneur m’a dit de réciter ce chapelet [le chapelet à la Miséricorde Divine] pendant neuf jours, avant la fête de la Miséricorde. Il doit commercer le Vendredi Saint. Il a ajouté : « Pendant cette neuvaine j’accorderai aux âmes toutes sortes de grâces » (PJ 796).

 

NEUVAINE À LA MISÉRICORDE DIVINE

« Neuvaine à la Miséricorde Divine, que Jésus m’a ordonné d’écrire et de réciter avant la fête de la Miséricorde. Elle commence le Vendredi Saint.

Je désire que, durant ces neuf jours, tu amènes les âmes à la source de Ma miséricorde, afin qu’elles y puisent force et soulagement, ainsi que toutes les grâces dont elles ont besoin dans les difficultés de la vie, et particulièrement à l’heure de la mort. Chaque jour, tu amèneras à Mon cœur un groupe d’âmes différent et tu les plongeras dans l’océan de Ma miséricorde.

Et Moi, je les ferai entrer toutes dans la demeure de Mon Père. Tu feras cela dans cette vie et dans l’autre. Je ne refuserai rien aux âmes que tu amèneras à la source de Ma miséricorde. Chaque jour, tu imploreras Mon Père, par Mon amère Passion, d’accorder des grâces pour ces âmes-là » (PJ 1209).

 

PREMIER JOUR

[Mot du Seigneur Jésus]
« Aujourd’hui, amène-Moi l’humanité tout entière, et particulièrement tous les pécheurs et immerge-la dans l’océan de Ma miséricorde. Ainsi, tu me consoleras de l’amère tristesse dans laquelle me plonge la perte des âmes. »

[Prière de Sœur Faustine]
Très Miséricordieux Jésus, dont le propre est d’avoir pitié de nous et de nous pardonner, ne regarde pas nos péchés, mais la confiance que nous avons en Ton infinie bonté. Reçois-nous dans la demeure de Ton Cœur très compatissant et garde-nous en lui pour l’éternité. Nous T’en supplions par l’amour qui T’unit au Père et au Saint Esprit.

Père Éternel, regarde avec miséricorde toute l’humanité qui demeure dans le Cœur très compatissant de Jésus, et en particulier les pauvres pécheurs. Par la douloureuse Passion de Ton Fils, témoigne-nous Ta miséricorde, afin que nous glorifiions sa toute-puissance pour les siècles des siècles. Amen.

Chapelet à la Miséricorde Divine

SOIXANTE-QUINZIÈME LECTURE : Des vœux du Baptême

SOIXANTE-QUINZIÈME LECTURE : Des vœux du Baptême

Abbe-Charles-Francois-LHOMOND-1727-1794
Abbe-Charles-Francois-LHOMOND-1727-1794

Consepulti sumus cum illo per Baptismum… ut in novitate vitae ambulemus.

Nous avons été ensevelis avec lui par le Baptême… afin que nous marchions dans une vie nouvelle. Rom. 6.

Quelle confusion pour moi, ô mon Dieu, à la vue de mes infidélités ! que sont devenues mes promesses ? où sont les biens que vous m’aviez accordés ? Ah ! Seigneur, oubliez mes iniquités ! vous voyez à vos pieds un coupable qui vous demande grâce, et qui désire de réparer son ingratitude passée, et de s’engager à vous par de nouveaux serments.

Oui, mon Dieu ! je ratifie maintenant les promesses qu’on vous a faites pour moi au jour de mon baptême, je les renouvelle de tout mon cœur en votre présence : je renonce de nouveau et pour toujours à Satan, je me donne à vous et pour ne m’en séparer jamais.

Le démon, votre ennemi et le mien, n’aura plus d’empire sur moi ; je renonce à ses œuvres en détestant tous les péchés que j’ai commis, et ceux que je pourrais commettre. Inspirez-moi, Seigneur, une horreur infinie pour ces œuvres de ténèbres qui donnent la mort à l’âme.

Je renonce donc au monde, à ses maximes et à ses vanités ; je veux mener une vie chrétienne et conforme aux règles de l’Évangile ; je veux vivre de la vie de Jésus-Christ, et être dans les mêmes dispositions et les mêmes sentiments où il a été.

Je vous consacre mon âme et mon corps, comme une hostie vivante, sainte et agréable à vos yeux ; toute ma gloire sera d’être appelé et d’être en effet votre enfant ; mon unique plaisir d’espérer en vous, de vous aimer et de vous posséder dans l’éternité.

Texte présenté par l’Association de la Médaille Miraculeuse

NB : à ceux qui le demanderont – par contact -, je donnerai gratuitement la version de ces prières, que j’ai mise en EPUB.
P. J.-Daniel Planchot, cm

SOIXANTE-QUATORZIÈME LECTURE : Du Baptême

SOIXANTE-QUATORZIÈME LECTURE : Du Baptême

Abbe-Charles-Francois-LHOMOND-1727-1794
Abbe-Charles-Francois-LHOMOND-1727-1794

Salvos nos fecit Deus per lavacrum regenerationis… ut justificati gratia ipsius, haeredes simus secundum spem vitae aeternae.

Dieu nous a sauvés par l’eau de la régénération, afin qu’étant justifiés par sa grâce, nous soyons héritiers de la vie éternelle. Tite 3.

Quand vous m’avez accordé la grâce du Baptême, ô mon Dieu ! je n’étais pas en état de connaître la grandeur de ce bienfait, ni de vous en remercier. Vous m’avez prévenu de l’abondance de vos miséricordes, dans le temps que je ne pouvais ni les désirer ni les sentir.

Maintenant je connais le don ineffable que vous m’avez fait, et je vous en rends mes très-humbles actions de grâces. J’avais été conçu dans le péché ; mais, par le Baptême, vous m’en avez délivré : j’étais, par ma naissance, l’esclave du démon, et vous m’avez adopté pour votre enfant ; je n’avais reçu de mes parents qu’une vie périssable, et vous m’avez communiqué une vie divine.

Vous n’avez pas fait la même grâce à tant de peuples infidèles, qui ne vous connaissent pas, ô mon Dieu ! j’ai eu le bonheur de naître dans le sein de l’Église catholique, et d’une famille chrétienne ; qu’avais-je fait pour mériter cette préférence ? je ne la dois qu’à votre miséricorde.

Un don si précieux et si peu mérité, exige de moi la plus vive reconnaissance. Ah ! Seigneur, je veux vous la témoigner, en estimant la qualité de Chrétien plus que tous les titres du monde, en ne faisant jamais rien qui soit indigne d’un enfant de Dieu.

Texte présenté par l’Association de la Médaille Miraculeuse

NB : à ceux qui le demanderont – par contact -, je donnerai gratuitement la version de ces prières, mise en EPUB.
P. J.-Daniel Planchot, cm