Pater, dimitte illis, non enim sciunt quid faciunt.
Mon Père, pardonnez-leur, car ils ne savent ce qu’ils font. Luc. 23.
D’après LE MOIS DE JÉSUS – Malines 1839
Ier Point.
IHS extrait des armes du Pape François
Ce n’était pas assez pour Jésus d’avoir supporté avec patience tous les outrages, toutes les calomnies dirigées contre lui ; ce n’était pas assez d’avoir enduré, sans se plaindre, les horribles tourments de la flagellation, du couronnement d’épines et du crucifiement ; enfin ce n’était pas assez d’avoir donné des consolations aux âmes sensibles qui s’attristaient de sa mort.
Iil faut que sa charité s’étende jusque sur ses bourreaux, et ses premières paroles, après être monté sur l’autel du sacrifice, sont consacrées à invoquer la clémence de son Père sur ceux qui viennent de rattacher à la croix : mon Père, pardonnez-leur.
Neuvaine de la Présentation du Seigneur
DEUXIÈME JOUR (26 JANVIER)
Présentation du Seigneur Giovanni Bellini (1430-1516)
L’approche de la fête de la Présentation de Jésus au Temple (2 février) nous invite à nous en remettre au Père des cieux, à sa volonté, comme a pu le faire Jésus, porté par ses parents Marie et Joseph. Pour préparer cette fête, vivons intensément du 25 janvier au 2 février la neuvaine de prière à l’Enfant-Jésus. Pour nous, associés de la Médaille Miraculeuse, elle sera source de grandes grâces et de croissance dans la vie spirituelle.
Outre cette loi qui regardait l’enfant, il y en avait une autre pour la mère. Cette loi ordonnait que toute femme qui aurait mis au monde un enfant, serait regardée comme impure pendant quarante jours, si l’enfant était un garçon, et pendant quatre-vingts, si c’était une fille ; que pendant tout ce temps elle ne pourrait entrer dans le Temple, ni toucher à quelque chose de saint ; et que ce terme expiré, elle irait au Temple offrir au agneau en holocauste, avec un pigeon ou une Tourterelle en simple sacrifice; ou si elle était pauvre deux pigeons ou tourterelles, et le prêtre les ayant offerts au Seigneur, elle serait purifiée.
***
1. Ô Jésus, splendeur du Père céleste, sur Ton visage resplendit le rayon de la Divinité. Je T’adore en confessant que Tu es le vrai Fils du Dieu Vivant. Je T’offre, Ô Seigneur, toute ma vie. Que je ne sois jamais séparé de Toi qui es tout pour moi.
2. Pater, Ave, Gloria
3. Par Ta Divine Enfance, Ô Jésus, accorde-moi la grâce que je Te demande (la dire ici) si elle est conforme à Ta Volonté et à mon vrai bien. Ne regarde pas ma faiblesse mais ma foi et Ta Miséricorde infinie.
Texte présenté par l’Association de la Médaille Miraculeuse
Neuvaine de la Présentation du Seigneur
PREMIER JOUR (25 JANVIER)
La Présentation de Jésus au Temple (peinture à l’huile sur bois – motif) de Giovanni Francesco da Rimini (1420-1469) Louvre
L’approche de la fête de la Présentation de Jésus au Temple (2 février) nous invite à nous en remettre au Père des cieux, à sa volonté, comme a pu le faire Jésus, porté par ses parents Marie et Joseph. Pour préparer cette fête, vivons intensément du 25 janvier au 2 février la neuvaine de prière à l’Enfant-Jésus. Pour nous, associés de la Médaille Miraculeuse, elle sera source de grandes grâces et de croissance dans la vie spirituelle.
Il y avait quarante jours que Jésus était né lorsqu’il voulut renouveler, d’une manière éclatante, l’offrande qu’il avait déjà faite à Dieu dans son cœur en entrant au monde.
Dieu avait ordonné aux Juifs de lui offrir dans le Temple tous leurs fils premiers-nés ; c’était en mémoire du prodige qu’il avait fait en leur faveur, lorsqu’il mit à mort tous les premiers-nés des Égyptiens, et qu’il épargna les leurs ; mais ayant choisi la Tribu de Levi pour servir dans le Temple, il avait prescrit que les premiers-nés des autres Tribus, après lui avoir été présentés, seraient rachetés par une offrande de cinq sicles (petite offrande équivalant à 180 grains d’orge).
***
1. Ô Jésus, me voici à Tes pieds ; je me tourne vers Toi qui es tout. J’ai tant besoin de Ton aide. Donne-moi un regard d’Amour, et puisque Tu es tout puissant, viens à mon secours.
3. Notre Père… ; Je vous salue, Marie… ; Gloire au Père et au Fils et au Saint Esprit…
4. Par Ta Divine Enfance, Ô Jésus, accorde-moi la grâce que je Te demande (la dire ici) si elle est conforme à Ta Volonté et à mon vrai bien. Ne regarde pas ma faiblesse mais ma foi et Ta Miséricorde infinie.
Texte présenté par l’Association de la Médaille Miraculeuse