Le monde sans les mères est sans avenir

«Nous avons besoin de redécouvrir la Madone selon la perspective du Concile», car «les temps que nous vivons sont les temps de Marie» comme l’avait souligné le Concile Vatican II.. Celle qui est mère et femme «enseigne bien l’alphabet de la vie humaine et chrétienne».
En tant que mère, elle «a fait de Dieu notre frère» et «peut rendre plus fraternels l’Église et le monde.» «L’Église a besoin de redécouvrir son cœur maternelle qui bat pour l’unité mais notre Terre en a besoin également pour redevenir la maison de tous ses enfants.» «Nous avons besoin de maternité, de qui génère et régénère la vie avec tendresse parce que seul le don, le soin et le partage tiennent ensemble la famille humaine. Le monde, sans les mères, n’a pas d’avenir.»
«De même que la mère fait de l’Église une famille, la femme fait de nous un peuple.» «La piété populaire fasse appel avec naturel à la Vierge.»
La figure féminine de la Vierge
Le rôle de la femme, essentiel dans l’histoire du salut «ne peut que l’être pour l’Église et pour le monde», «mais combien de femmes ne reçoivent pas dignité qui leur est due». «La femme qui a porté Dieu dans le monde doit pouvoir porter ses dons dans l’histoire. Nous avons besoin de son intelligence et de son style. La théologie en a besoin pour qu’elle ne soit pas abstraite et conceptuelle mais délicate, narrative, vitale».
«Même à travers l’art et la poésie, la beauté humanise et diffuse l’espérance». La théologie doit chercher des «espaces plus dignes pour la femme dans l’Église, à partir de la commune dignité baptismale».