neuvaine à Sainte Anne

Sainte Anne, ô bonne Mère
Sainte Anne, ô bonne Mère

La neuvaine à Sainte Anne, mère de la Vierge Marie, peut se faire plus spécialement du 18 au 26 juillet, le 26 étant la fête liturgique de Sainte Anne. Pour bien accomplir cette Neuvaine, la faire plutôt le matin au lever, en dédiant ainsi sa journée à Sainte Anne,  prier avec beaucoup de confiance, recevoir les Sacrements de la Réconciliation et de l’Eucharistie, si possible le 26 juillet même.

Premier jour

Glorieuse et bonne Sainte Anne, par la patience avec laquelle vous avez, pendant tant d’années, supporté la peine que vous causait votre stérilité, obtenez-nous une patience inébranlable dans tous les travaux et les maux de cette vie. Amen.

3 Notre Père, 3 je Vous salue Marie, 3 Gloire au Père

Oraison :
Seigneur, Toi qui es le Dieu de nos Pères, Tu as donné à Sainte Anne et à Saint Joachim de mettre au monde celle qui deviendrait la Mère de Ton Fils: accorde-nous, à leur commune prière, le Salut que Tu as promis à Ton Peuple. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur. Amen.

Deuxième jour

Glorieuse et bénie Sainte Anne, par la fervente et continuelle prière avec laquelle vous demandiez à Dieu la cessation de votre stérilité, obtenez-nous le don d’oraison pour que nos cœurs soient féconds en vertus. Amen.

3 Notre Père, 3 je Vous salue Marie, 3 Gloire au Père

Oraison :
Seigneur, Toi qui es le Dieu de nos Pères, Tu as donné à Sainte Anne et à Saint Joachim de mettre au monde celle qui deviendrait la Mère de Ton Fils: accorde-nous, à leur commune prière, le Salut que Tu as promis à Ton Peuple. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur. Amen.

Troisième jour

Glorieuse et bénie Sainte Anne, par l’esprit de pénitence dont vous accompagniez vos prières qui les rendait plus puissantes sur le Cœur de Dieu, obtenez-nous la grâce d’unir à l’esprit de prière, l’esprit de mortification pour nous faire acquérir tous les trésors de la Grâce Divine. Amen.

3 Notre Père, 3 je Vous salue Marie, 3 Gloire au Père

Oraison :
Seigneur, Toi qui es le Dieu de nos Pères, Tu as donné à Sainte Anne et à Saint Joachim de mettre au monde celle qui deviendrait la Mère de Ton Fils: accorde-nous, à leur commune prière, le Salut que Tu as promis à Ton Peuple. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur. Amen.

Quatrième jour

Glorieuse et bénie Sainte Anne, par la douce violence que vous avez faite au Cœur de Dieu en répandant d’abondantes aumônes et en vous livrant à d’autres œuvres de Charité, demandez-Lui, pour nous, une Charité semblable, afin qu’Il soit touché de compassion pour nous et qu’Il nous traite aussi avec Miséricorde. Amen.

3 Notre Père, 3 je Vous salue Marie, 3 Gloire au Père

Oraison :
Seigneur, Toi qui es le Dieu de nos Pères, Tu as donné à Sainte Anne et à Saint Joachim de mettre au monde celle qui deviendrait la Mère de Ton Fils: accorde-nous, à leur commune prière, le Salut que Tu as promis à Ton Peuple. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur. Amen.

Cinquième jour

Glorieuse et bénie Sainte Anne, par la confiance avec laquelle vous avez espéré voir l’accomplissement de vos désirs, obtenez-nous une ferme confiance, afin que le Ciel nous accorde toutes sortes de faveurs. Amen.

3 Notre Père, 3 je Vous salue Marie, 3 Gloire au Père

Oraison :
Seigneur, Toi qui es le Dieu de nos Pères, Tu as donné à Sainte Anne et à Saint Joachim de mettre au monde celle qui deviendrait la Mère de Ton Fils: accorde-nous, à leur commune prière, le Salut que Tu as promis à Ton Peuple. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur. Amen.

Sixième jour

Glorieuse et bénie Sainte Anne, par la vive reconnaissance dont vous avez été pénétrée pour Dieu, quand, par un effet de Sa Bonté, vous avez vu cesser votre stérilité, faites que nous soyons toujours reconnaissants envers le Seigneur pour les bienfaits qu’Il nous accorde continuellement et que nous méritions d’en obtenir de nouveaux. Amen.

3 Notre Père, 3 je Vous salue Marie, 3 Gloire au Père

Oraison :
Seigneur, Toi qui es le Dieu de nos Pères, Tu as donné à Sainte Anne et à Saint Joachim de mettre au monde celle qui deviendrait la Mère de Ton Fils: accorde-nous, à leur commune prière, le Salut que Tu as promis à Ton Peuple. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur. Amen.

Septième jour

Glorieuse et bénie Sainte Anne, par le pur et saint amour que vous avez conçu pour Marie, quand vous avez eu le bonheur de devenir sa mère, obtenez-nous d’aimer toujours cette Vierge, votre auguste Fille et notre Mère, afin d’obtenir Sa Miséricorde. Amen

3 Notre Père, 3je Vous salue Marie, 3 Gloire au Père

Oraison :
Seigneur, Toi qui es le Dieu de nos Pères, Tu as donné à Sainte Anne et à Saint Joachim de mettre au monde celle qui deviendrait la Mère de Ton Fils: accorde-nous, à leur commune prière, le Salut que Tu as promis à Ton Peuple. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur. Amen.

Huitième jour

Glorieuse et bénie Sainte Anne, par le grand sacrifice que vous avez fait en consacrant, dès ses plus tendres années, votre fille bien-aimée au service du Seigneur, intercédez pour nous, afin que nous puissions faire pour le Seigneur, avec un grand courage, tous les sacrifices qu’Il désire de nous, pour obtenir les bienfaits les plus signalés. Amen.

3 Notre Père, 3 je Vous salue Marie, 3 Gloire au Père

Oraison :
Seigneur, Toi qui es le Dieu de nos Pères, Tu as donné à Sainte Anne et à Saint Joachim de mettre au monde celle qui deviendrait la Mère de Ton Fils: accorde-nous, à leur commune prière, le Salut que Tu as promis à Ton Peuple. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur. Amen.

Neuvième jour

Glorieuse et bénie Sainte Anne, par la Sainteté et la Justice qui ont brillé en vous tous les jours de votre vie, daignez prier le Seigneur de nous accorder la grâce de vivre et de mourir saintement, afin de mériter les récompenses du Ciel qu’Il nous a promises. Amen.

3 Notre Père, 3 je Vous salue Marie, 3 Gloire au Père

Oraison : Seigneur, Toi qui es le Dieu de nos Pères, Tu as donné à Sainte Anne et à Saint Joachim de mettre au monde celle qui deviendrait la Mère de Ton Fils: accorde-nous, à leur commune prière, le Salut que Tu as promis à Ton Peuple. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur. Amen.

Invocation

Glorieuse sainte Anne, pleine de bonté pour ceux qui vous invoquent, pleine de compassion pour ceux qui souffrent, me trouvant accablé d’inquiétudes et de peines, je me jette à vos pieds en vous suppliant humblement de prendre sous votre protection l’affaire qui m’occupe. Je vous la recommande instamment et vous prie de la présenter à votre Fille et notre Mère la très Sainte Vierge et à la Majesté divine de Jésus-Christ pour m’en obtenir une issue favorable. Ne cessez pas d’intercéder, je vous en supplie, que ma demande me soit accordée par la divine miséricorde. Amen.

Sainte Anne, si propice à tous ceux qui souffrent et qui vous implorent avec confiance, priez pour nous.

Prière d’une Mère pour ses Enfants à Sainte Anne

Ô glorieuse sainte Anne, Patronne des familles chrétiennes, je te présente mes enfants. Je sais que je les ai reçus de Dieu et qu’ils lui appartiennent. Aussi je te prie de m’obtenir la grâce de me soumettre toujours avec eux à la divine Providence.

Daigne les bénir, et, en te suppliant de leur obtenir la bénédiction de Dieu, je ne demande en leur faveur ni les honneurs du monde, ni les biens de la terre. Ma prière sera plus chrétienne et plus agréable à tes yeux si je demande avant tout le Royaume de Dieu et sa justice.

Je compte, bonne Mère, que tu m’aideras à leur procurer ce qui est nécessaire pour leur assurer une existence digne. Imprime dans le cœur de mes enfants une grande horreur du péché. Éloigne-les du mal. Préserve-les de la corruption du monde.

Qu’ils soient toujours animés de sentiments chrétiens. Accorde-leur la simplicité et la droiture du cœur. Apprends-leur à aimer Dieu uniquement, comme tu l’as appris, dès ses plus tendres années, à ta Fille Immaculée, la Bienheureuse Vierge Marie.

Ô sainte Anne, tu es le miroir de la patience, obtiens moi la grâce de supporter avec patience et amour toutes les difficultés inséparables de l’éducation de mes enfants. Bénis-nous, mes enfants et moi. Veille sur nous, ô bonne Mère. Fais que nous nous aimions toujours avec Jésus et Marie.

Que nous vivions conformément à l’Esprit de Dieu. Afin qu’après cette vie nous ayons le bonheur d’être ensemble, unis à toi, pour toute l’éternité. Amen.

La vie de Sainte Anne

Sainte Anne est la mère de la Sainte Vierge Marie, donc la grand-mère de notre Seigneur Jésus. À ce titre, elle est particulièrement écoutée par son petit-fils. La dévotion à Sainte Anne s’est développée à partir du 6ème siècle. Elle est la patronne de la Bretagne.

Sainte Anne appartenait à ce peuple choisi qui, dans les desseins de Dieu, devait donner naissance au Sauveur des hommes; elle était de la tribu de Juda et de la race de David. Ses parents, recommandables par leur origine, devinrent surtout illustres entre tous leurs concitoyens par l’éclat d’une vie pleine de bonnes œuvres et de vertus.

Dieu, qui avait prédestiné cette enfant à devenir l’aïeule du Sauveur, la combla des grâces les plus admirables. Après Marie, aucune femme plus que sainte Anne ne fut bénie et privilégiée entre toutes les autres. Mais si elle reçut tant de grâces, comme elle sut y répondre par la sainteté de sa vie!

Toute jeune enfant, elle était douce, humble, modeste, obéissante et ornée des naïves vertus de son âge. Plus tard, comme elle sut bien garder intact le lis de sa virginité! Comme elle dépassait toutes les filles, ses compagnes, par sa piété, par la réserve de sa tenue, son recueillement et la sainteté de toute sa conduite!

Puis, quand il plut à Dieu d’unir son sort à celui de Joachim, combien Anne fut une épouse prévenante, respectueuse, laborieuse, charitable et scrupuleusement fidèle à tous les devoirs de son état, vaquant à propos au travail et à la prière.

Dieu lui refusa longtemps de devenir mère; elle se soumit humblement à cette épreuve et l’utilisa pour sa sanctification. Mais à l’épreuve succéda une grande joie, car de Joachim et d’Anne, déjà vieux, naquit miraculeusement Celle qui devait être la Mère du Sauveur.

C’est sans doute un grand honneur pour sainte Anne, que d’avoir donné naissance à la Mère de Dieu; mais il lui revient beaucoup plus de gloire d’avoir formé le cœur de Marie à la vertu et à l’innocence! L’église célébrera dans tous les âges la piété maternelle de sainte Anne, et la gloire de sa Fille rejaillira sur elle de génération en génération.

Le culte de sainte Anne a subi diverses alternatives. Son corps fut transporté dans les Gaules, au premier siècle de l’ère chrétienne, et enfoui dans un souterrain de l’église d’Apt, en Provence, à l’époque des persécutions. A la fin du VIIIe siècle, il fut miraculeusement découvert et devint l’objet d’un pèlerinage. Mais c’est surtout au XVIIe siècle que le culte de sainte Anne acquit la popularité dont il jouit.

De tous les sanctuaires de sainte Anne, le plus célèbre est celui d’Auray, en Bretagne; son origine est due à la miraculeuse découverte d’une vieille statue de la grande Sainte, accompagnée des circonstances les plus extraordinaires et suivies de prodiges sans nombre. Sainte-Anne d’Auray est encore aujourd’hui l’objet d’un pèlerinage national, comme il en est aussi au Québec avec Sainte-Anne de Beaupré.

radiographier l’état spirituel de son cœur

Le semeur au soleil couchant , peint par Vincent Van Gogh en 1888

Est-ce un terrain fertile ou imperméable ? Ce dimanche 16 juillet 2017, le Pape demande aux fidèles de «radiographier» l’état spirituel de leur cœur.  Il pousse les catholiques à laisser Jésus s’enraciner en eux. Il invite chacun à reconnaitre et nommer les ronces qui étouffent la Parole de Dieu en leur cœur. Des vices que sont l’égoïsme, l’avidité du pouvoir ou de la richesse.

Jésus n’impose pas, il propose

L’Évangile de ce dimanche célèbre la parabole du semeur racontée par Jésus à la foule qui se tient pour l’écouter sur le rivage (Matthieu 13, 1-23). Jésus ne s’impose pas à eux, il leur propose de l’écouter. «Jésus ne cherche pas à attirer par la conquête, mais en se donnant.»

Sa Parole n’est pas «une cage ou un piège, mais une semence qui peut porter ses fruits». Comment ? «Si nous l’accueillons.» Cette parabole parle «surtout de nous», du terrain plus que du semeur. Jésus fait une «radiographie spirituelle de notre cœur, qui est le terrain sur lequel tombe la semence de sa Parole.»

L’état de ton cœur

Il existe des bons terrains, et ainsi de bons cœurs, pour faire pousser les grains. Au contraire, il y a des terrains durs «imperméables» sur lesquels la Parole de Dieu «rebondit» sans pénétrer. Il y a d’autres types de terrains intermédiaires.

Celui qui est plein de pierres, avec peu de terre. Le grain y tombe, il pousse, mais ne parvient pas à s’enraciner.  «Ainsi sont les cœurs superficiels, qui accueillent le Seigneur, veulent prier, aimer, témoigner, mais ne persévèrent pas . Ils se fatiguent et ne décollent jamais. Là, l’amour est inconstant et passager.» Le grain de celui qui accueille le Seigneur «quand cela lui plaît», ne porte pas de fruits.

Enfin, le terrain plein de ronces qui étouffent les bonnes plantes, dont parle l’Évangile. Ces ronces sont «les préoccupations du monde, la séduction de la richesse. (v22) » Ce sont «les idoles de la richesse mondaine, le goût pour une vie avide pour soi-même ou le goût pour l’avoir et le pouvoir» : les vices qui se battent avec Jésus et étouffent sa présence.

«Si on cultive ces ronces, on empêche Jésus de grandir en nous». Chacun est invité  à reconnaitre les vices qui habitent son cœur, l’interdisant d’être «un cœur propre», pour ensuite les arracher.

Se libérer des ronces

Avec cette parabole, Jésus pousse les fidèles à regarder l’état de son cœur, à montrer de la gratitude pour les terrains fertiles, et à travailler sur les terrains qui ne sont pas encore bons.

«Demandons-nous si notre cœur est ouvert et prêt à accueillir avec foi les grains de la Parole de Dieu. Demandons-nous si les cailloux de la paresse sont encore nombreux et grands. (…) Trouvons le courage de bonifier le terrain qu’est notre cœur, en confiant nos pierres et nos ronces au Seigneur dans la confession ou la prière.» Jésus sera heureux d’aider au travail de purification de nos cœurs.

«Que la Mère de Dieu, dont nous nous souvenons aujourd’hui sous le titre de Bienheureuse Vierge du mont Carmel, en accueillant la Parole de Dieu et la mettant en pratique (cf. Lc 8, 21) incomparablement, nous aide à purifier nos cœurs et à garder la présence du Seigneur

Source : Radio Vatican

Venez à moi vous tous qui peinez

L’invitation faite par le Christ et racontée par l’évangéliste Matthieu s’adresse à tous ceux qui se sentent fatigués et opprimés. «Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos.» Lors de la Prière de l’Angélus, Place Saint Pierre à Rome, Le Pape François propose une réflexion sur ce passage de l’Évangile de ce dimanche 9 juillet.

Jésus, qui sait combien la vie peut être difficile, en raison des déceptions et les blessures du passé, ou des incertitudes et des inquiétudes pour l’avenir, nous appelle à réagir et à ne pas rester dans le désarroi, ce qui serait une erreur. Réagir peut paraitre une évidence mais en réalité il n’en est pas ainsi:

«Dans les moments sombres, il nous semblerait naturel de rester seul, de ruminer sur les injustices de la vie, sur l’ingratitude des autres, sur la méchanceté du monde.»  Dans de telles circonstances, si l’on reste enfermés sur nous-mêmes, on se familiarise avec la tristesse. Mais Jésus, lui, veut nous sortir de ces «sables mouvants», et c’est le sens de son appel «Venez».

Le chemin de la sortie passe par la relation à l’autre, par cette main tendue et en levant le regard vers celui nous aime réellement. «Car sortir de son propre enfermement n’est pas suffisant. Encore faut-il savoir où aller. De nombreuses destinations sont illusoires, elles promettent le repos et distraient quelque peu. Elles promettent la paix et le divertissement, mais en fin de compte, elles nous renvoient à notre précédente solitude. Ce sont des feux de paille.»

Jésus ne se limite pas à nous appeler, il nous indique la direction : «Venez à moi».  Il arrive souvent que dans les moments difficiles on cherche à parler à un ami, un expert, à quelqu’un qui nous écoute. «C’est un grand bien, mais n’oublions pas Jésus. N’oublions pas de nous ouvrir à lui et de lui raconter la vie, de lui confier des personnes et des situations.»

Il ne faudra pas cependant attendre que d’un coup de baguette magique Jésus puisse résoudre les problèmes. Jésus ne fera pas disparaitre les problèmes, il soulagera de l’angoisse. Il ne nous ôtera pas notre croix, il la portera avec nous.

Car c’est lui, le repos que nous cherchons. Aller vers le Christ, lui donner de notre temps, le rencontrer chaque jour dans la prière, se familiariser avec sa parole, redécouvrir sans crainte son pardon, c’est se sentir aimé et consolé par lui.

Alors, en ce mois de juillet qui est un temps de vacances où nous recherchons le repos loin de ce qui fatigue le corps, «n’oublions pas de chercher le vrai repos dans le Seigneur.»

«Que la Vierge Marie notre Mère nous aide, elle qui prend toujours soin de nous quand nous sommes fatigués et opprimés, et nous accompagne vers Jésus

09-07-2017 source : Radio Vatican

 

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