Archives de catégorie : Méditation

sur un aspect de spiritualité : Christ, Vierge Marie, Église dans le monde…

Avec Notre-Dame de Fatima, prions pour les étudiants et les enseignants

Avec Notre-Dame de Fatima, prions pour les étudiants et les enseignants

Notre-Dame-de-Fatima-et-les-trois-enfants
Notre-Dame-de-Fatima-et-les-trois-enfants

En ce jour où l’Église fait mémoire de la Vierge de Fatima, ce mercredi de la cinquième semaine de Pâques,  le Pape François a présidé la messe en la Maison Sainte-Marthe. Il l’a introduite ainsi : «Prions aujourd’hui pour les étudiants, les enfants qui étudient et les enseignants qui doivent trouver de nouveaux moyens pour aller de l’avant dans l’enseignement : que le Seigneur les aide sur ce chemin, qu’Il leur donne le courage et aussi le succès.»

Dans l’homélie,

il a affirmé que la vie chrétienne est la mystique d’une «demeure» réciproque : nous en Jésus et Jésus en nous.

Dans l’Évangile d’aujourd’hui (Jn 15, 1-8), Jésus dit à ses disciples : «Moi, je suis la vraie vigne, et mon Père est le vigneron. Tout sarment qui est en moi, mais qui ne porte pas de fruit, mon Père l’enlève ; tout sarment qui porte du fruit, il le purifie en le taillant, pour qu’il en porte davantage. (…)»

«De même que le sarment ne peut pas porter de fruit par lui-même s’il ne demeure pas sur la vigne, de même vous non plus, si vous ne demeurez pas en moi. Moi, je suis la vigne, et vous, les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure, celui-là porte beaucoup de fruit, car, en dehors de moi, vous ne pouvez rien faire.»

«Le Seigneur revient sur le fait de « rester en Lui » et nous dit : « La vie chrétienne doit rester en moi ». Restez. Et il utilise ici l’image de la vigne, car les sarments restent dans la vigne. Et ce « séjour » n’est pas un séjour passif, un endormissement dans le Seigneur : ce serait peut-être un sommeil béatifique».

«Cette « demeure » est une « demeure » active, et aussi une « demeure » réciproque. Pourquoi en est-il ainsi ? Parce qu’il dit : « Demeure en moi et moi en toi ». Il reste aussi en nous, et pas seulement nous en Lui. Il s’agit d’une demeure réciproque.»

Cette «réciprocité dans le fait de demeurer est un mystère», «un mystère de la vie, un beau mystère». «C’est vrai, les branches sans la vigne ne peuvent rien faire car la sève ne vient pas, elles ont besoin de la sève pour grandir et porter des fruits. Mais aussi l’arbre, la vigne a besoin de pousses, car les fruits ne sont pas attachés à l’arbre, à la vigne. C’est un besoin réciproque, c’est un besoin mutuel de rester réciproque pour porter des fruits.»

«Et voici la vie chrétienne : c’est vrai, la vie chrétienne est l’accomplissement des commandements, cela doit être fait. La vie chrétienne est de prendre le chemin des béatitudes : cela doit être fait. La vie chrétienne consiste à accomplir des œuvres de miséricorde, comme le Seigneur nous l’enseigne dans l’Évangile : et cela doit être fait.»

«Mais plus encore : cela doit rester réciproque. Sans Jésus, nous ne pouvons rien faire, comme les sarments sans la vigne. Et Lui – permettez-moi que le Seigneur le dise – sans nous, il semble qu’Il ne puisse rien faire, parce que c’est le fruit qui lui donne le rameau, et non l’arbre, la vigne.»

Et quel est le besoin qu’a la vigne d’avoir des branches ? «C’est d’avoir des fruits». «Quel est le besoin de Jésus pour nous ? Le témoignage. Quand il dit dans l’Évangile que nous sommes la lumière, il dit : « Soyez la lumière, afin que les hommes voient vos bonnes œuvres et glorifient le Père », c’est-à-dire que le témoignage est le besoin que Jésus a de nous. Témoignez de son nom, car la foi, l’Évangile grandit par le témoignage».

«Jésus a besoin de notre témoignage pour que l’Église puisse grandir. Et c’est le mystère mutuel de «demeurer». Lui, le Père et l’Esprit demeurent en nous, et nous demeurons en Jésus.»

«Cela nous fera du bien de réfléchir et de nous pencher sur ce point : demeurer en Jésus et Jésus demeure en nous. Demeurez en Jésus pour avoir la sève, la force, pour avoir la justification, la gratuité, pour avoir la fécondité. Et Il demeure en nous pour nous donner la force du fruit, pour nous donner la force du témoignage avec lequel l’Église grandit».

«La relation entre nous et Jésus est une relation d’intimité, une relation mystique, une relation sans paroles. “Mais Père, mais ça, laissez faire les mystiques!”. Non : c’est pour nous tous. Avec de petites pensées : « Seigneur, je sais que Tu es : donne-moi la force et je ferai ce que Tu me diras. Ce dialogue intime avec le Seigneur. Le Seigneur est présent, le Seigneur est présent en nous, le Père est présent en nous, l’Esprit est présent en nous ; ils restent en nous. Mais je dois rester en eux.»

«Que le Seigneur nous aide à comprendre, à ressentir cette mystique du fait de « demeurer » sur laquelle Jésus insiste tant.» «Bien souvent, quand nous parlons de la vigne et des sarments, nous nous arrêtons à la figure, à l’œuvre de l’agriculteur, du Père, qui taille ce qui porte du fruit, et qui coupe ce qui ne porte pas de fruit.»

«C’est vrai, il fait ça, mais ce n’est pas tout, non. Il y a l’autre aspect. C’est l’aide : les épreuves, les difficultés de la vie, même les corrections que le Seigneur nous fait. Mais ne nous arrêtons pas là. Entre la vigne et les sarments, il y a cette « demeure » intime. Les branches, nous, ont besoin de la sève, et la vigne a besoin des fruits, du témoignage.»

Le Pape a terminé la messe par un temps d’adoration puis la bénédiction eucharistique, invitant aussi à la communion spirituelle.

prière dite par le Pape:

«Mon Jésus, je crois que tu es vraiment présent dans le Très Saint Sacrement de l’autel. Je t’aime par-dessus tout et te désire dans mon âme. Puisque je ne peux pas Te recevoir sacramentellement maintenant, viens au moins spirituellement dans mon cœur. Comme je suis déjà venu, je T’embrasse et je m’unis tout entier à Toi. Ne permet pas que je puisse jamais me séparer de Toi.» (d’après Saint Alphonse de Liguori)

La messe s’est terminée par un temps d’adoration du Saint-Sacrement, suivi de la bénédiction eucharistique. Enfin, à l’occasion de la mémoire d’aujourd’hui qui commémore la première apparition de Marie aux petits bergers de Fatima au Portugal, les deux strophes de l’Ave Maria de Fatima ont été entonnées :

«Le 13 mai  Marie est apparue à trois petits bergers dans la Cova d’Iria.

Je vous salue Marie, ave ave Maria.»

prier pour les infirmières et les infirmiers, exemples d’héroïsme

prier pour les infirmières et les infirmiers, exemples d’héroïsme

Lors de la messe célébrée ce mardi 12 mai de la 5e semaine du Temps Pascal en la chapelle de la Maison Sainte-Marthe, le Saint-Père a formulé l’intention de prière suivante:

«Aujourd’hui, c’est la journée des infirmières. Hier, j’ai envoyé un message. Prions aujourd’hui pour les infirmières et les infirmiers, hommes, femmes, jeunes hommes et jeunes femmes, qui exercent cette profession, qui est plus qu’une profession, c’est une vocation, un dévouement. Que le Seigneur les bénisse. En cette période de pandémie, ils ont donné un exemple d’héroïsme et certains ont donné leur vie. Prions pour les infirmières et les infirmiers.»

Dans son homélie,

Paix
Paix

il a rappelé que la paix de Jésus est un don gratuit qui s’ouvre toujours aux autres et donne l’espérance du Ciel, qui est la paix définitive, tandis que la paix du monde est égoïste, stérile et provisoire. Dans l’Évangile d’aujourd’hui (Jn 14, 27-31), Jésus dit à ses disciples: «Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix ; ce n’est pas à la manière du monde que je vous la donne».

«Le Seigneur, avant de s’en aller, salue les siens et leur fait le don de la paix, la paix du Seigneur.» «Il ne s’agit pas de la paix universelle, cette paix sans guerre que nous voulons tous avoir toujours, mais de la paix du cœur, de la paix de l’âme, de la paix que chacun d’entre nous a en lui. Et le Seigneur la donne, mais non pas comme le monde la donne».

«Le monde te donne la paix intérieure, comme ta possession, comme quelque chose qui est à toi et qui t’isole des autres, c’est une acquisition de ta part: j’ai la paix. Et toi, sans t’en rendre compte, tu te fermes dans cette paix, c’est une paix pour toi», qui rend calme et heureux, mais qui «t’endort un peu, t’anesthésie et te fait rester avec toi-même: c’est un peu égoïste».

«C’est une paix qui coûte cher parce qu’il faut constamment changer les instruments de la paix: quand on est enthousiaste pour une chose, cela donne la paix pour une autre, puis cela s’arrête et il faut en trouver une autre… C’est cher parce que c’est temporaire et stérile».

«Mais la paix que Jésus donne, c’est autre chose. C’est une paix qui vous met en mouvement, elle n’isole pas, elle met en mouvement, elle fait aller vers les autres, elle crée une communauté, elle crée la communication. La paix du monde coûte cher, la paix de Jésus est gratuite, elle est gratuite: la paix du Seigneur est un don du Seigneur. Elle est fructueuse, elle fait toujours avancer.»

«Un exemple de l’Évangile qui me fait penser à ce qu’est la paix dans le monde: cet homme qui avait des greniers pleins et dont la récolte de cette année semblait être très pleine, et il pensait: « Mais je vais devoir construire d’autres entrepôts, d’autres granges pour mettre cela et alors je serai calme … c’est ma tranquillité, avec ça je peux vivre en paix. » « Insensé, dit Dieu, tu mourras ce soir » (cf. Lc 12, 13-21)»

«C’est une paix immanente qui n’ouvre pas la porte à l’au-delà. Au lieu de cela, la paix du Seigneur est ouverte, où il est allé, est ouverte au ciel, est ouverte au paradis. C’est une paix fructueuse qui s’ouvre et amène également les autres avec vous au ciel.»

«Dois-je payer pour la paix ou dois-je la recevoir gratuitement du Seigneur? A quoi ressemble ma paix? Quand je rate quelque chose, est-ce que je me fâche? Ce n’est pas la paix du Seigneur. C’est l’une des preuves. Suis-je en paix, est-ce que je m’endors? Ce n’est pas la paix du Seigneur.»

«Suis-je en paix, et je veux la communiquer aux autres et faire avancer les choses? C’est la paix du Seigneur. Même dans les moments difficiles, cette paix reste-t-elle en moi? C’est celle du Seigneur. Et la paix du Seigneur est fructueuse pour moi aussi parce qu’elle est pleine d’espérance, c’est-à-dire qu’elle regarde le Ciel.»

«hier j’ai reçu une lettre d’un prêtre, un bon prêtre, bon, et il m’a dit que je parle peu du ciel, que je devrais en parler davantage. Et il a raison, il a raison. C’est pourquoi je voulais aujourd’hui souligner ceci: cette paix, cette paix que Jésus nous donne, est une paix pour le présent et pour l’avenir. C’est de commencer à vivre le Ciel, avec la fécondité du Ciel. Il ne s’agit pas d’une anesthésie. C’est commencer à vivre le Ciel, avec la fécondité du Ciel.»

«L’autre paix, oui: vous vous anesthésiez avec les choses du monde et quand la dose de cette anesthésie se termine, vous en prenez une autre et une autre et une autre et une autre… C’est une paix définitive, fructueuse et contagieuse. Elle n’est pas narcissique, car elle se tourne toujours vers le Seigneur. L’autre regarde vers soi-même, elle est un peu narcissique».

«Que le Seigneur nous donne cette paix pleine d’espérance, qui nous rend féconds, qui nous rend communicatifs avec les autres, qui crée la communauté et qui regarde toujours vers la paix définitive du Paradis.»

*

La messe s’est terminée par un temps d’adoration du Saint-Sacrement, suivi de la bénédiction eucharistique.

Avant que le Saint-Père ne quitte la chapelle, dédiée à l’Esprit-Saint, l’antienne mariale du temps pascal Regina Coeli a été entonnée:

Regína caeli laetáre, allelúia. 

Quia quem merúisti portáre, allelúia.

Resurréxit, sicut dixit, allelúia.

Ora pro nobis Deum, allelúia.

prier pour ceux qui ont perdu leur travail

prier pour ceux qui ont perdu leur travail

Au début de la messe célébrée en la chapelle de la Maison Sainte-Marthe, ce lundi de la 5e semaine du Temps Pascal, le Pape a formulé l’intention de prière suivante: «Nous nous joignons aux fidèles de Termoli, en la fête de la découverte [75ème anniversaire dans la crypte de leur Cathédrale] du corps de Saint Timothée aujourd’hui. Ces jours-ci, de nombreuses personnes ont perdu leur emploi; elles n’ont pas été réembauchées, elles travaillaient au noir… Nous prions pour nos frères et sœurs qui souffrent de ce manque de travail.»

Dans son homélie,

le Pape a médité sur le rôle de l’Esprit-Saint, qui aide à comprendre ce que le Seigneur nous a dit.

Dans l’Évangile d’aujourd’hui (Jn 14, 21-26), Jésus dit à ses disciples: «Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole ; mon Père l’aimera, nous viendrons vers lui et, chez lui, nous nous ferons une demeure. Celui qui ne m’aime pas ne garde pas mes paroles. Or, la parole que vous entendez n’est pas de moi : elle est du Père, qui m’a envoyé. Je vous parle ainsi, tant que je demeure avec vous ; mais le Défenseur, l’Esprit Saint que le Père enverra en mon nom, lui, vous enseignera tout, et il vous fera souvenir de tout ce que je vous ai dit.»

«C’est la promesse de l’Esprit Saint, l’Esprit Saint qui habite avec nous et que le Père et le Fils envoient» pour «nous accompagner dans la vie.» Il est le Paraclet qui «soutient, qui accompagne pour ne pas tomber, qui te maintient ferme, qui est proche de toi pour te soutenir. Et le Seigneur nous a promis ce soutien, qui est Dieu comme lui: il est le Saint-Esprit. Que fait le Saint-Esprit en nous? Le Seigneur le dit: « Il vous enseignera tout et vous rappellera tout ce que je vous ai dit.”

Enseigner et se souvenir. C’est le travail du Saint-Esprit. Il nous enseigne: il nous enseigne le mystère de la foi, il nous apprend à entrer dans le mystère, à comprendre un peu plus le mystère, il nous enseigne la doctrine de Jésus et nous apprend à développer notre foi sans faire d’erreurs, parce que la doctrine grandit, mais toujours dans la même direction: elle grandit dans la compréhension.

Et l’Esprit nous aide à grandir dans la compréhension de la foi, à la comprendre davantage et à aller plus loin pour comprendre ce que dit la foi. La foi n’est pas une chose statique ; la doctrine n’est pas une chose statique: elle « grandit » toujours, mais elle grandit « dans la même direction».

Et l’Esprit Saint empêche la doctrine de se tromper, l’empêche de s’immobiliser, sans grandir en nous. Il nous enseignera les choses que Jésus nous a enseignées, il développera en nous la compréhension de ce que Jésus nous a enseigné, il fera grandir en nous la doctrine du Seigneur, jusqu’à la maturité».

Le Saint-Esprit fait se souvenir : «Il vous rappellera tout ce que je vous ai dit.» L’Esprit Saint nous réveille », nous garde toujours éveillés «dans les choses du Seigneur» et nous fait aussi nous souvenir de notre vie, quand nous avons rencontré le Seigneur ou quand nous l’avons quitté.

Le Pape François s’est ensuite souvenu d’une personne qui priait ainsi devant le Seigneur: «Seigneur, je suis le même qui, enfant, garçon, a fait ces rêves. Ensuite, j’ai pris de mauvais chemins. Maintenant, tu m’as appelé». Ceci «est la mémoire de l’Esprit Saint dans la vie de chacun. Elle t’amène à la mémoire du salut, à la mémoire de ce que Jésus t’a enseigné, mais aussi à faire mémoire de ta propre vie. C’est une belle façon de prier le Seigneur: « Je suis le même. J’ai beaucoup marché, j’ai fait beaucoup d’erreurs, mais je suis le même et tu m’aimes ».  C’est la mémoire du voyage de la vie.»

«Et dans cette mémoire, l’Esprit Saint nous guide ; il nous guide pour discerner, pour discerner ce que je dois faire maintenant, ce qui est la bonne voie et ce qui est mauvais, même dans les petites décisions. Si nous demandons la lumière à l’Esprit Saint, il nous aidera à discerner afin de prendre les bonnes décisions, les petites décisions de tous les jours et les plus grandes». L’Esprit «nous accompagne, nous soutient dans le discernement.»

«Il nous enseignera tout, c’est-à-dire qu’il fait croître la foi, il nous introduit dans le mystère, l’Esprit nous rappelle : il nous rappelle la foi, il nous rappelle notre propre vie, et l’Esprit, dans cet enseignement, dans cette mémoire, nous apprend à discerner les décisions que nous devons prendre.»

«Et les Évangiles donnent un nom à l’Esprit Saint: oui, le Paraclet, parce qu’il vous soutient, mais aussi un autre nom plus beau: c’est le Don de Dieu. L’Esprit est le don de Dieu. L’Esprit est précisément le Don: « Je ne vous laisserai pas seuls, je vous enverrai un Paraclet qui vous soutiendra et nous aidera à avancer, à nous souvenir, à discerner et à grandir. Le don de Dieu est le Saint-Esprit.»

«Que le Seigneur nous aide à garder ce don qu’il nous a donné lors du baptême et que nous avons tous en nous.»

Après la communion, le Pape a invité les fidèles ne pouvant communier sacramentellement à prier

l’acte de communion spirituelle suivant:

«Mon Jésus, je crois à votre présence dans le Très Saint Sacrement. Je vous aime plus que toute chose et je désire que vous veniez dans mon âme. Je ne puis maintenant vous recevoir sacramentellement dans mon Cœur : venez‐y au moins spirituellement. Je vous embrasse comme si vous étiez déjà venu, et je m’unis à vous tout entier. Ne permettez pas que j’aie jamais le malheur de me séparer de vous.» (Saint Alphonse de Liguori)

Il y a ensuite eu un temps d’adoration du Saint-Sacrement, suivi de la bénédiction eucharistique.

Avant que le Saint-Père ne quitte la chapelle, dédiée à l’Esprit-Saint, l’antienne mariale du temps pascal Regina Coeli a été entonnée :

Regína caeli laetáre, allelúia.

Quia quem merúisti portáre, allelúia.

Resurréxit, sicut dixit, allelúia.

Ora pro nobis Deum, allelúia